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149e R.I., un régiment spinalien dans la Grande Guerre.
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5 avril 2024

Pierre Jacques Peyrus (1895-1973)

 

Jeunesse et début dans l’armée

 

Pierre Jacques Peyrus est né le 26 novembre 1895, 7 rue des Marans, à Mâcon, dans la Saône-et-Loire. Ses parents sont de confession protestante.

 

Son père, Louis, 37 ans, est lieutenant au 134e R.I.. Sa mère, Joséphine Caroline Jouard, 33 ans, n’a pas d’activité professionnelle. Pierre est le deuxième enfant d’une fratrie composée d’une fille et de deux garçons.

 

Pierre Peyrus poursuit ses études jusqu'au baccalauréat. Il rêve de faire carrière dans l'armée en suivant les traces de son père. Grâce à son niveau scolaire, il peut se présenter au concours d'entrée de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr.

 

Il réussit les épreuves écrites, mais les événements internationaux qui vont précipiter le monde dans une guerre mondiale l'empêchent de se présenter aux oraux du concours.

 

Les futurs élèves officiers de la 99e promotion saint-cyrienne, qui sera ultérieurement connue sous le nom de « La Grande Revanche », sont déclarés admissibles sans avoir à passer d'épreuves orales ; ils n’ont pas non plus la possibilité de suivre la formation d'élève officier.

 

Tout comme les autres candidats éligibles à cette promotion, Pierre Peyrus est contraint de signer un contrat d'engagement volontaire de huit ans avec l'armée afin de conserver son statut de futur officier.

 

Le 10 août 1914, il se rend à la mairie de Mâcon pour officialiser son engagement. Pierre Peyrus choisit de faire ses classes au 134e R.I., le régiment où son père a servi et a terminé sa carrière en tant que capitaine d'habillement. Le jour même, il rejoint la caserne Duhesme.

 

Le jeune homme doit faire preuve de persévérance pour obtenir un maximum d'expérience militaire en un minimum de temps avant de rejoindre le front. Pour prétendre exercer son autorité sur une cinquantaine d'hommes, il est essentiel d'être aussi crédible que possible, surtout lorsqu’on est très jeune.

 

 

Conflit 1914-1918

 

Pierre Peyrus est nommé caporal le 10 octobre 1914. Le 5 décembre, il est promu sous-lieutenant à titre temporaire pour la durée de la guerre, avec une mutation au 95e R.I., un régiment qui tient garnison à Bourges. Le jeune officier ne reste que très peu de temps au dépôt de cette unité. En janvier 1915, il quitte la caserne Condé en compagnie du sous-lieutenant Larnac, un autre Saint-Cyrien de sa promotion. Les deux hommes ont été affectés au  149e R.I., un régiment qui opère à proximité de Bethonsart, en Artois.

 

Le lieutenant-colonel Gothié place le sous-lieutenant Peyrus à la tête de la 3e section de la 4e compagnie, sous les ordres du capitaine Altairac.

 

Pierre Peyrus est incapable de s'intégrer dans ce régiment. Son manque d'expérience et son extrême jeunesse n’ont pas joué en sa faveur. Peu valorisé par ses supérieurs, il se voit attribuer une note très sévère de la part de son chef de corps ; ce dernier, après avoir pris connaissance d'un rapport rédigé par le chef de bataillon Bichat,  écrit ceci : "Jeune admissible à Saint-Cyr, n'ayant pas donné la moindre satisfaction » Mou, apathique, sans aucune énergie, n’a pas montré au combat les qualités d’un chef, a été proposé pour être remis sous-officier dans un autre régiment. »

 

Son commandement a été sérieusement remis en question à deux reprises. La première fois, le 3 mars 1915, au cours d’une vaste offensive allemande et la seconde fois, le 10 mai 1915, date à laquelle il est blessé durant une attaque sur le plateau de Notre-Dame-de-Lorette. 

 

Pour en savoir plus sur les événements qui se sont déroulés le 3 mars 1915, il suffit de cliquer une fois sur la carte suivante.

 

 

Pour en savoir plus sur les événements qui se sont déroulés le 10 mai 1915, il suffit de cliquer une fois sur la carte suivante.

 

 

Une légère blessure à la face, une contusion violente au genou gauche et un affaiblissement général très prononcé nécessitent son évacuation vers arrière.

 

Du 12 mai au 5 juin 1915, le sous-lieutenant Peyrus est soigné à l'hôpital auxiliaire n° 5, installé dans le lycée de jeunes filles, 2 rue Dupanloup à Orléans. Il bénéficie ensuite d'une période de repos allant du 6 juin au 5 août. Durant ce laps de temps, Pierre Peyrus apprend qu'il a été rétrogradé au rang de sergent en vertu d'une décision ministérielle datée du 4 juillet 1915.

 

Après sa convalescence, il se rend au dépôt du 149e R.I. à Épinal.

 

Conformément aux directives de sa hiérarchie, le sergent Peyrus doit changer d'unité. Il est affecté au 17e R.I. le 1er décembre 1915, puis muté au 217e R.I. le 24 août 1916. Pendant la période du 12 au 20 mars 1917, il se distingue en tant que sous-officier à Maison-en-Champagne. Le lieutenant-colonel du régiment demande sa réintégration dans son grade d'officier.

 

Le 15 avril 1917, Pierre Peyrus est de nouveau autorisé à porter ses galons de sous-lieutenant.

 

Le 1er janvier 1918, il commande une section de la 21e compagnie sous les ordres du lieutenant Eymard.

 

Le chef de corps du régiment rédige ceci dans le relevé de notes du sous-lieutenant Peyrus : « Très intelligent, caractère doux, un peu timide, mais franc et ouvert. Discipliné, travailleur, donne toute satisfaction par son application, sa conscience et son dévouement. Très apte à commander une section. A de l’allant et obtient beaucoup de ses hommes dont il a la confiance. Doit acquérir encore de l’assurance et se montrer un chef plus ferme. Aime beaucoup son métier et deviendra un bon officier. »

 

En avril 1918, Pierre Peyrus contracte les oreillons, une maladie très contagieuse qui le contraint à quitter son régiment. Il est hospitalisé à l'ambulance 5/V de Courcelles-Sapicourt pendant la période du 12 avril au 8 mai 1918. Après sa guérison, il retrouve son poste au 217e R.I..

 

 

Le 7 juin 1918, le sous-lieutenant Peyrus est de nouveau blessé, touché par un éclat d’obus à la cuisse droite pendant un mouvement de relève. À cette période du conflit, son régiment se trouve dans un secteur près de Locre, à l'ouest du mont Kemmel, en Belgique. Transporté à l'arrière, le personnel médical de l'ambulance chirurgicale de Bourbourg, dans le Nord, le prend en charge du 8 juin au 4 juillet 1918.

 

Il est admis à l'hôpital n° 107 de Saint-Brieuc le 6 juillet, puis à l’hôpital neurologique de Rennes le 11 octobre. Ensuite, il est en convalescence du 11 décembre 1918 au 10 janvier 1919. Après cette période de congé forcé, il se rend au centre neurologique de Lyon le 11 janvier 1919. À partir du 16 février 1919, Pierre Peyrus bénéficie d'un nouveau congé de convalescence de 45 jours.

 

Période après guerre

 

Après cette longue période de soins, il fait un stage à l'école de Saint-Cyr du 17 février au 30 septembre 1919. Le 16 juin, Pierre Peyrus se fracture la clavicule droite au niveau de l'union du tiers interne après avoir reçu un coup de pied de cheval. Du 16 juin au 18 juillet 1919, il est admis à l'hôpital Dominique Larrey à Versailles, avant de partir pour une période de convalescence du 19 juillet au 18 août.

 

Le 20 septembre 1919, le chef de bataillon responsable de son groupe à Saint-Cyr écrit ceci : «  De la bonne volonté, intelligence et travail moyen. Candidat à la cavalerie, n’a pas pu passer l’examen à cause d’un accident de cheval antérieur. Inapte à l’infanterie. Un peu indolent. Éducation et tenue très bonne. Peut rendre des services dans une mission à l’étranger, où il aura peu à se fatiguer et où il sera confié à un supérieur sachant le mettre en confiance et le faire travailler. Mention assez bien ».

 

À l’issue de  son stage à l’école de Saint-Cyr, Pierre Peyrus est nommé sous-lieutenant à titre définitif avec une affectation au 163e R.I. à compter du 1er octobre.

 

Il participe aux cours de tir à terre contre avions avec armes portatives en juillet 1921, puis aux cours de tir contre avions du 19 août au 30 août 1921.

 

Le 8 novembre 1921, il obtient son baccalauréat en droit à la faculté de droit de l'université de Lyon.

 

Le 1er février 1922, Pierre Peyrus se marie avec Louise Henriette Suzanne Jorré à Dijon. Un fils naît de cette union en 1927.

 

Dans sa séance du 10 février 1922, la commission spéciale de réforme de Metz le propose pour un maintien en activité ; ce maintien s’accompagne d’une pension temporaire de 10 % pour gêne fonctionnelle légère du membre inférieur droit, paralysie des muscles de la loge antérieure externe de la jambe suite à sa blessure de guerre.

 

Le 26 février, le sous-lieutenant est affecté à la 1ère compagnie du régiment. Le journal officiel du 29 février 1922 officialise sa nomination en tant que lieutenant à compter du 9 mai 1919.

 

A la suite d’une décision ministérielle du 19 juin 1922 (J.O. du 5/10/1922), il est nommé stagiaire au 8e groupe du 56e R.A.C. à Sarrebruck.

 

Le 15 mai 1922, son régiment d’affectation, le 163e R.I. est renommé 153e R.I.. 

 

Le 9 janvier 1923, le lieutenant Peyrus est détaché à l’école militaire d’artillerie de Fontainebleau qu’il quitte le 27 juillet 1923.

 

Le 29 juillet, il rejoint le camp de Gers, où il continue sa formation d'artilleur en suivant une nouvelle série de cours de tir jusqu'au 21 septembre 1923.

 

Le 16 février 1924, Pierre Peyrus quitte Sarrebruck par voie de terre pour rejoindre Saint-Avold.

 

Le 3 octobre, il est détaché au 7e groupe autonome d'artillerie en tant que stagiaire. Ce régiment est renommé 7e groupe d’artillerie de campagne d’Afrique en 1925.

 

Le 21 juillet 1925, Pierre Peyrus est affecté en Algérie. Il traverse la Méditerranée dès le lendemain.

 

Un décret du 13 septembre 1925 entraîne son admission définitive dans l’artillerie (J.O. du 22/9/1925).

 

La commission spéciale de réforme, réunie à Alger le 19 février 1926, le maintient en activité avec une pension définitive de 10 %. Elle  valide le taux d’invalidité proposé par la commission spéciale de réforme de Metz quatre ans plus tôt.

 

Le 7 janvier 1928, une décision ministérielle l’affecte au centre annexe de mobilisation d'Aumale du 1er groupe d'artillerie de campagne d'Afrique.

 

 

Des dispositions de  loi s’appliquent : la loi du 7 juillet 1921 relative au statut des élèves de l’école spéciale militaire et des élèves de l’école polytechnique incorporés aux cours des hostilités ; et les lois du 10 août 1917 et du 30 mars 1921 modifiant les règles d’avancement. Par ces applications, le sous-lieutenant Peyrus prend rang dans le grade  de sous-lieutenant le 27 octobre 1916 (J.O. du 26 mai 1928).

 

Pierre Peyrus est élevé au grade de capitaine par décret du 23 janvier 1929. Le 24 juin 1929, il décroche sa licence  à la faculté de droit d'Alger.

 

Le 30 octobre 1931, le capitaine Peyrus est transféré au 65e régiment d'artillerie d’Aumale en tant que commandant de la 8e batterie.

 

L'année qui suit voit un changement radical dans sa carrière de soldat. Pierre Peyrus a reçu l'autorisation de participer aux épreuves d'admission du concours de l'École supérieure de l'Instruction à Paris. Reçu avec une note de 11 sur 46, il suit les cours de la session 1932-1933 avec une note de sortie de 19 sur 24.

 

Une fois sa formation terminée, il est nommé intendant militaire adjoint par décret du 21 septembre 1934 (J.O. du 25 septembre 1934). Pierre Peyrus embarque à Marseille le 3 octobre, débarque en Algérie deux jours plus tard pour faire son entrée dans la division d'Oran.

 

Il est affecté en sous-ordre à l’intendance de l’habillement et des corps de troupes d’Oran.

 

Le 1er novembre 1935, l’intendant militaire adjoint Peyrus occupe un poste à l’intendance des frais de déplacements et transports d’Oran ; il retrouve ensuite ses anciennes fonctions à l’intendance de l’habillement et des corps de troupes d’Oran à partir du 1er janvier 1936.

 

Le 25 décembre 1936, Pierre Peyrus est promu au grade d’intendant militaire de 3e classe par décret du 22 décembre (J.O. du 25 décembre 1936)

 

Une décision du général commandant le 19e C.A. le fait affecter à l’intendance de Saïda en tant que chef de service. Il prend ses nouvelles fonctions le 30 décembre.

 

Second conflit mondial 1939-1945

 

À la mobilisation du 31 août 1939, Pierre Peyrus est nommé à la direction de l'intendance de la 19e région à Alger, et confirmé comme maintenu dans ses nouvelles fonctions.

 

Le 23 novembre 1939,  L’intendant général Robinot-Marcy l’évalue de la manière suivante : «  Très bon intendant, intelligent et plein de tact qui remplit parfaitement les délicates fonctions d’adjoint du directeur de l’intendance de la 19e région. Actif et énergique, a fourni un travail considérable et fait preuve du plus grand dévouement. »

 

Pierre Peyrus est élevé au rang d'intendant de 2e classe conformément à l’arrêté ministériel du 20 septembre 1941. Il est admis dans le corps civil de l’intendance (cadre des intendants) par arrêté en date du 26 octobre 1941 avec ce nouveau grade à partir du 25 mai.

 

Le 2 septembre 1942, une décision ministérielle le nomme directeur du service départemental du ravitaillement et de l'intendance à Chambéry, un service relevant de la 14e division militaire. Le 17 septembre, il embarque à Alger, arrive à Marseille le 19, intègre la 14e D.I. le 21 et débute son service le 22.

 

Le 21 décembre 1943, le  directeur régional du ravitaillement général Reynaud le décrit comme suit : «  Fonctionnaire distingué, méthodique, travailleur et calme, d’apparence parfois timide, mais avec du caractère et une scrupuleuse conscience professionnelle. Assure dans de bonnes conditions la direction de son service cumulativement avec ses attributions « guerre », ce qui constitue dans les circonstances présentes une charge lourde et délicate. Très bien élevé, caractère plutôt grave, en raison de l’éloignement des siens demeurés en Algérie. En résumé, très bon fonctionnaire qui mérite d’être promu à la 1ère classe. »

 

Le 25 août 1944, le comité départemental de libération de la Savoie le suspend de ses responsabilités de directeur.

 

Le 5 décembre 1944, Pierre Peyrus est rappelé provisoirement à l’activité militaire et mis à la disposition du directeur de l’intendance 14 par décision du commandant de la 14e région. Il est temporairement affecté à l'intendance de Lyon afin de remplacer le titulaire absent.

 

Le 14 décembre 1944, il occupe les fonctions de chef de service de l’intendance régionale des pensions et réquisitions d’Orléans

 

Le 17 mars 1945, il est hospitalisé à l’hôpital Desgenettes à Lyon qu’il quitte le 11 avril avec un congé de convalescence de 2 mois.

 

Rappelé à l’activité par avis de mutation, Pierre Peyrus retourne à Alger le 31 mai 1945 ; le 14 juin il est de nouveau hospitalisé. Il quitte l’hôpital d’Alger 14 juin avec un congé de convalescence de 45 jours. Il reprend son service le 1er août 1945. L’intendant de 2e classe Peyrus est encore fois mis en congé de convalescence à compter du 22 février 1946 ; il prend ce congé à Nice jusqu’au 22 mai 1946.

 

Au cours de cette période, Il est mis à la disposition de l’intendance de la 8e région par décision ministérielle du 15 mars 1946. Pierre Peyrus est d’abord affecté à l’intendance de Lyon au service des pensions en qualité de chef de service avant d’être nommé directeur départemental des A.C. du Rhône à compter du 15 juillet 1946.

 

Il est  promu au grade d’intendant de 1ère classe par décret du 7 avril 1948. Il cesse ses activités de directeur des A.C. du Rhône le 5 avril 1948 ; il occupe alors les fonctions de gouverneur à la cour des réglementations des pensions de Lyon jusqu’à son départ à la retraite.

 

Atteint par la limite d’âge de son grade, l’intendant de 1ère classe Peyrus est admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite à partir du 26 novembre 1954.

 

Il est nommé dans les cadres des officiers de réserve du service de l’intendance avec son dernier grade. Il est affecté dans un premier temps à la réserve de l’intendance de la  8e région  à partir du  9 avril 1952 puis à celle de la 6e région à partir du 11 octobre 1952.

 

L’intendant de 1ère classe Peyrus, atteint par la limite d’âge le 26 novembre 1958, est rayé des cadres par décision ministérielle du 9 décembre 1958.

 

Il se retire à Romilly-sur-Seine, rue des marronniers pour occuper le poste de directeur du centre de formation professionnelle.

 

Pierre Peyrus décède le 10 septembre 1973 à Dijon. Il allait fêter ses 77 ans.

 

 

Décorations obtenues :

 

Croix de guerre avec une étoile de bronze et une étoile d’argent

 

Cité à l’ordre de la brigade n° 101  en date du 31 mai 1917 (texte manquant)

 

Cité à l’ordre de la division n° 289 en date du :

 

« Jeune officier ayant de très grandes qualités militaires, d’un courage et d’un sang froid exemplaires. A été blessé grièvement le 8 juin sur une position soumise à un violent bombardement de l’ennemi »

 

Chevalier de la Légion d’honneur (décret du 28 décembre 1928)

 

Officier de la Légion d’honneur (décret du 11 juillet 1947 - publication dans le J.O. du 17 juillet 1947)

 

L’intendant militaire de 1ère classe Peyrus possède un dossier sur la base Léonore.

 

 

Autres décorations :

 

Médaille commémorative de la Grande Guerre

 

Médaille de la victoire

 

Croix du combattant volontaire (cette qualité de combattant volontaire lui est reconnue car il s’est engagé trois mois avant l’appel de sa classe).

 

Cet officier est cité dans le livre d’or de la promotion de la Grande Revanche. Son nom apparaît dans un chapitre destiné aux personnes dont les familles n'ont pas pu fournir d'informations sur leurs antécédents.

 

La généalogie de la famille Peyrus est consultable sur le site « Généanet ». Pour y accéder, il suffit de cliquer une fois sur l’image suivante.

 

 

Sources :

 

Dossier individuel consulté au Service Historique de la Défense de Vincennes.

 

Les portraits du sous-lieutenant Peyrus et sa plaque d’identité proviennent de son dossier du S.H.D. de Vincennes.

 

J.M.O. du 17e R.I.  S.H.D. de Vincennes. Réf : 26 N 717/10.

 

Livre d’or de la promotion de « la Grande Revanche » Saint-Cyr 1914 d’après les documents rassemblés par le lieutenant Campana, secrétaire de la promotion.

 

Un grand merci à M. Bordes, à A. Carobbi, à T. Cornet, à M. Porcher, au Service Historique de la Défense de Vincennes et aux archives médicales hospitalières des armées de Limoges.

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