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149e R.I., un régiment spinalien dans la Grande Guerre.
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9 décembre 2022

Pierre Achille Quinot (1874-1958)

Pierre Achille Quinot

 

Jeunesse

 

Pierre Achille Quinot voit le jour le 27 janvier 1874 aux Moncets, un hameau rattaché à la commune de Guérard, dans le département de la Seine-et-Marne.

 

Sa mère, Marie Rosalie Chevallier, tisserande manouvrière, est âgée de 23 ans. Son père, Hubert Anatole, 28 ans, travaille comme manœuvre.

 

La famille Quinot quitte la Seine-et-Marne pour venir s’installer dans le Val-de-Marne. Hubert Anatole a trouvé un emploi de cocher à La Queue-en-Brie.

 

La Queue-en-Brie

 

Le couple Quinot donne encore la vie à deux garçons. Le plus jeune, Georges Anatole, décède avant de fêter son premier anniversaire. 

 

 

Achille Quinot est un élève brillant. Probablement soutenu par ses enseignants, il a la possibilité de poursuivre sa scolarité jusqu’au baccalauréat, ce qui est peu commun pour une personne de cette position sociale.

 

Après avoir obtenu son diplôme, le jeune homme décide d’entreprendre une carrière dans l’armée. Le 3 avril 1895, il fait une demande écrite pour s’inscrire au concours d’entrée de l’école spéciale militaire. Avec son baccalauréat en poche, il en a tout à fait le droit.

 

Les parents Quinot, peu fortunés (le père et la mère travaillent maintenant comme domestiques), sollicitent, auprès du conseil municipal, une demande de bourse entière avec trousseau complet. Au vu du parcours scolaire effectué par le fils Quinot, le maire et ses conseillers estiment qu’il peut, sans problème, bénéficier de cette faveur. Le préfet de Versailles valide le choix fait par la mairie de Queue-en-Brie.

 

En contrepartie, le père s’engage par écrit à rembourser l’État si son fils ne revêt pas l’uniforme au moins durant les dix années qui suivent la fin de ses études militaires.

 

Le jeune Quinot réussit l’examen d’entrée de l’école de Saint-Cyr. Il est un soldat appelé de la classe 1894 de la subdivision de Versailles au n° 124 de tirage dans le canton de Boissy-Saint-Léger. Il intègre la promotion de « Tananarive » le 29 octobre 1895. Les études sont difficiles, il est très loin de faire partie des meilleurs éléments. Achille Quinot termine sa formation d’officier le 1er octobre 1897 en obtenant le numéro 521 sur 539 élèves classés.

 

Sous l’uniforme d'officier

 

Nommé sous-lieutenant, il est, à sa sortie d’école, envoyé au 145e R.I., un régiment à 4 bataillons qui tient principalement garnison à Maubeuge. Achille Quinot est affecté au 4e bataillon installé à Montmédy.

 

Le 4 septembre 1900, le colonel Lacroisade, lui inflige 15 jours d’arrêts de rigueur pour le motif suivant : « A tenu dans son logement une réunion bruyante au cours de laquelle des dames passant en plein jour devant sa maison ont été interpellées par la fenêtre. »

 

Il est nommé lieutenant le 1er octobre 1899.

 

Achille Quinot est muté au 37e R.I. le 24 mai 1907, après avoir occupé les fonctions d’officier de détail durant plusieurs années au 145e R.I..

 

Une décision ministérielle du 10 juin 1908 entraîne sa nomination de porte-drapeau du régiment. À partir de cette période, il est noté comme peu à la hauteur des fonctions administratives qui lui ont été confiées. Une amélioration est cependant constatée l’année de son mariage.

 

Le 2 mai 1910, il épouse Marie Clotilde Désoudin, une veuve âgée de 29 ans, déjà mère d’un garçon de 9 ans. Le couple n’aura pas d’enfant.

 

Genealogie famille Quinot (2)

 

Achille Quinot reprend son poste de lieutenant de compagnie le 9 novembre 1911.

 

Il est cité au bulletin officiel du 22 février 1912 pour son zèle et sa capacité dans le fonctionnement du service de l’armement au cours de l’année 1911.

 

Achille Quinot est nommé capitaine le 24 mars 1912. Muté au 162e R.I., il arrive dans cette nouvelle unité au mois de mai.

 

Apprécié par ses nouveaux supérieurs, il commande et administre sa compagnie correctement. Aux manœuvres d’automne, il fait preuve de vigueur en menant ses hommes de façon satisfaisante.

 

Discipliné et consciencieux, il manque tout de même d’expérience dans l’art du commandement d’après ses supérieurs.

 

Il fait une demande écrite pour obtenir le poste d’officier trésorier. Son chef de corps accepte de lui confier les comptes du régiment à partir du 24 mai 1913.

 

Le capitaine Quinot conserve son poste administratif lorsque le conflit contre l’Allemagne débute en août 1914. Il redevient officier de compagnie le 13 juillet 1915.

 

Le 8 août 1915, Pierre Quinot est affecté au 421e R.I., un régiment nouvellement créé, composé au ¾ de jeunes recrues de la classe 1915. Le lieutenant-colonel Simoni lui confie le commandement de la 4e compagnie.

 

Le chef de corps du régiment le décrit de la manière suivante :

 

« Bon commandant de compagnie, administrant bien son unité. Venait, au moment de la formation du 421e R.I. de quitter les fonctions de capitaine trésorier. Avait besoin de se perfectionner au point de vue des manœuvres. A fait des progrès. Intelligent, très vigoureux et très actif, s’occupe beaucoup de ses subordonnés de qui il sait se faire obéir. Bonne tenue. N’a pas été au front, très apte à faire campagne. »

 

Très rapidement le lieutenant-colonel Simoni modifie son jugement :

 

« J’ai acquis la conviction que le capitaine Quinot s’adonne à la boisson ; mais comme il a été presque toujours plus ou moins éloigné de moi, je n’ai jamais été à même de constater personnellement qu’il se soit enivré. À surveiller de près.

 

A pris, au mois d’avril, le commandement provisoire du 1er bataillon au départ du titulaire promu lieutenant-colonel et l’a conservé jusqu’à ces jours derniers. N’a pas su le maintenir à son niveau. Ce bataillon qui était remarquablement tenu aurait fini, s’il en avait préservé le commandement, par lui laisser perdre toute sa valeur.

 

Inapte, pour le moment du moins, surtout s’il ne corrige pas ses habitudes d’intempérance que, je le crois fermement, il a contractées. »

 

Le 421e R.I. est dissous sans avoir été envoyé au front le 19 août 1916. Le capitaine Quinot n’est toujours pas monté en 1ère ligne.

 

Suite à une décision du  général commandant la 3e armée en exécution de l’ordre du général commandant en chef en date du 14 août 1916, le capitaine Quinot est affecté au 228e R.I.. Rayé des contrôles du 421e R.I, il se met en route le 28 août pour rejoindre sa nouvelle unité. Il est affecté au commandement de la 16e compagnie du dépôt divisionnaire, chargé de l’instruction des sous-officiers et des chefs de section.

 

En 1917, le lieutenant-colonel Drouin note ceci dans le relevé de notes de son subordonné : « Mon attention avait été appelée sur le capitaine Quinot par les notes que lui avait données un des officiers sous lesquels il avait servi. J’ai donc spécialement surveillé cet officier. Je l’ai fait venir à différentes reprises chez moi, à des heures différentes, je n’ai jamais rien remarqué d’anormal.

 

Le capitaine Quinot est nerveux, il est même impulsif, a-t-il eu autrefois des habitudes d’intempérance qui l’ont conduit à cet état ? C’est possible, mais je n’ai personnellement rien à lui reprocher.

 

Il est profondément regrettable que cet officier n’ait pas été au front. Son influence sur ses cadres et sur la troupe en est diminuée. Il y aurait lieu de le faire venir, dans le plus bref délai possible dans un régiment de guerre. Dans tous les cas, il ne peut-être, à mon avis, l’objet d'aucunes propositions, soit pour le grade soit pour la croix.

 

Au point de vue commandement, c’est un chef moyen qui a passé sa vie dans les bureaux et qui en a conservé la mentalité. »

 

Le capitaine Quinot quitte le centre d’instruction de la 158e D.I. le 5 août 1917 avec un renfort de 418 hommes. Il prend le commandement de la 17e compagnie du 228e R.I., une unité combattante.

 

Le chef de bataillon Roussel, le commandant provisoire du régiment, écrit ceci à son sujet :

 

« Officier de carrière intelligent et rigoureux. Affecté le 5 août au commandement d’une compagnie du régiment. Venant du C.I.D. 158, n’a pris part, depuis le début de la campagne, à aucune action de guerre et ne peut être noté sur ce qu’on peut attendre de lui au combat. Le caractère nerveux et impulsif de cet officier signalé dans les notes précédentes s’est affirmé dans le commandement de sa compagnie, en particulier dans les détails de la discipline. Les punitions qu’il inflige doivent être revues avec soin. »

 

Le capitaine Quinot est affecté au C.I.D. 43 à la dissolution de son régiment en novembre 1917.

 

Au 149, enfin au front !

 

Capitaine Quinot, sous-lieutenant Loubignac et le chien Flambeau

 

Le 11 novembre, il est envoyé au 149e R.I.. Achille Quinot rejoint cette unité installée dans une zone plutôt tranquille, loin des combats, à proximité de la frontière suisse. Le chef de corps du régiment lui confie le commandement de sa 1ère compagnie.

 

Fin janvier 1918, le 149e R.I. occupe des tranchées autour du Violu, dans le département des Vosges. Son manque d’expérience se fait vite ressentir.

 

Le 24 février 1918, il commet une faute importante qui lui vaut 25 jours d’arrêt de rigueur donnés par le général Michel, le responsable de la 43e D.I..

 

« Malgré les consignes et les ordres les plus formels plusieurs fois répétés, a détaché des sentinelles doubles isolées d’une grande distance du groupe de combat et a été ainsi la cause de la perte de cinq hommes, enlevés par un coup de main de l’ennemi, sans que le gros du groupement de combat ait eu à intervenir. »   

                   

Le lieutenant-colonel Boigues rédige le texte suivant dans le feuillet individuel de campagne du capitaine Quinot :

 

« Rien ne m’autorise à attribuer au capitaine Quinot des habitudes d’intempérance, boit généralement de l’eau, mais il est évidemment nerveux et un peu impulsif avec le verbe un peu élevé.

 

Il a besoin, d’autre part, en raison de cette inégalité d’humeur, d’être surveillé de près. Cela dit, il me paraît être un brave homme à moyens limités, prêt à faire honorablement son devoir partout. Je ne l’ai vu encore toutefois que dans un secteur calme. »

 

Photo de groupe - Copie

 

Le 27 mai 1918, le 149e R.I. quitte le secteur de Compiègne qu’il occupe depuis une dizaine de jours. Le régiment est appelé d’urgence dans le secteur de Braine, une petite commune du département de l’Aisne. Les Allemands viennent de lancer une vaste offensive près du Chemin des Dames. Pour le capitaine Quinot, c’est le baptême du feu. Il se montre peu brillant au cours de cette épreuve.

 

Pour en savoir plus sur les combats d’Arcy-Sainte-Restitue, il suffit de cliquer une fois sur l’image suivante.

 

Arcy-Sainte-Restitue

 

Les notes données par son chef de corps ne sont vraiment pas très élogieuses après cette première expérience du feu !

 

Le 19 juillet 1918, le lieutenant-colonel Vivier rédige ceci dans le feuillet du personnel du capitaine Quinot :

 

« Après avoir paru, pendant une période de repos et d’instruction, faire des efforts pour se mettre à hauteur de sa tâche, s’est montré, au cours des combats, incapable de commander une compagnie. D’une santé chancelante, d’un moral peu élevé, paraît avoir, en outre, un penchant pour l’alcool. Officier à ne pas renvoyer au front, paraît avoir quelques connaissances administratives qui peuvent être utilisées à l’intérieur. »

 

Fin du bref séjour en unité combattante

 

Achille Quinot tombe malade. Il est soigné dans un hôpital de Saint-Étienne avant de bénéficier d’une convalescence de 45 jours. Il rejoint son dépôt le 25 août 1918.

 

Une décision ministérielle du 20 septembre 1918 (J.O. du 26 septembre 1918) l’affecte au 162e R.I., son ancien régiment, où il est détaché au recrutement.

 

Les années après le conflit

 

Le 27 février 1920, le capitaine Quinot est traduit devant le conseil de guerre de Limoges. Il est accusé de vol militaire comptable, faux en matière d’administration militaire et usage de ces faux lorsqu’il occupait les fonctions de capitaine trésorier dans ce même régiment entre le 23 mai 1913 et le 16 juillet 1915. Il est acquitté de tous ces chefs d’inculpations.

 

Le 21 avril le capitaine Quinot est muté au 45e R.I..

 

Il est affecté au 94e R.I. en tant que commandant de compagnie à Commercy, suite à une décision ministérielle du 19 avril 1923 (J.O. du 15/ avril 1923).

 

Achille Quinot est désigné pour effectuer un stage d’instruction prévu pour les officiers susceptibles d’être promus au grade de chef de bataillon à titre définitif au cours de l’année 1923. (J.O. du 5 avril 1923). Il effectue ce stage du 16 avril au 7 juin 1923.

 

Le 23 décembre 1923, il est promu au grade de commandant.

 

Une fois de plus, il ne se montre pas à la hauteur de sa tâche. Le 30 décembre 1924, le colonel Détrie rédige un long rapport à son sujet :

 

« J’ai l’honneur de rendre compte du défaut de capacité du chef de bataillon Quinot, commandant le 3e bataillon du 94e R.I..

 

Cet officier supérieur avait, au moment de sa promotion au grade de chef de bataillon, fait auprès de la direction de l’infanterie, une démarche pour être, à raison de sa longue spécialisation antérieure affecté à un emploi de major. Promu chef de bataillon au 94e R.I. après avoir accompli son stage de franchissement de grade, il a pris le commandement du 3e bataillon, après avoir provisoirement commandé un bataillon pendant 3 mois.

 

Dans ses fonctions qu’il exerce depuis un an, le chef de bataillon Quinot s’est montré complètement au-dessous des triples tâches d’éducateur, d’instructeur et de commandant d’unité.

 

L’examen suivi des travaux de toute sorte fournis par cet officier supérieur, de son tableau de travail, de ses programmes d’instruction, des thèmes d’exercices de combat de son bataillon, des ordres donnés par lui au cours des manœuvres, a accusé constamment une inexpérience de la conduite tactique du bataillon, une inexpérience complétée d’une réelle absence de méthode et d’une ignorance des buts et des moyens de l’instruction.

 

Ainsi s’explique le manque d’initiative qui caractérise le commandement de cet officier supérieur, les lacunes importantes relevées dans les ordres à son bataillon, la tendance à perdre de vue et à négliger des opérations dont l’importance lui a été soulignée par son chef.

 

L’examen des services antérieurs du commandant Quinot montre qu’il s’est tenu trop longtemps en dehors de la troupe et du commandement, soit en temps de paix, soit en campagne et, de ce fait, se trouvent les raisons de l’incapacité de cet officier supérieur, soit comme instructeur, soit comme chef d’une unité tactique si importante.

 

D’autre part, la lecture de ses notes de 1916 à 1923 fait ressortir déjà dans le commandement, soit de la compagnie soit du bataillon, au feu, à l’arrière, cette incapacité.

 

Cette incapacité mise en évidence dans les notes de 1920, 1921 et 1923, n’est pas attribuable à l’usure ou aux fatigues de la dernière guerre, puisque les services de guerre de ce chef de bataillon se limitent à moins de sept mois de front et à sa participation à une seule attaque, a la suite de laquelle il a été évacué malade et noté comme : «  incapable de commander une compagnie, moral peu élevé. »

 

Deux ans auparavant, le 28 août 1916, il avait déjà mérité des appréciations très défavorables.

 

Ce défaut de capacités du chef de bataillon maintes fois exprimé dans ses notes antérieures est malheureusement de ces défauts qui ne peuvent échapper aux cadres qui le voient journellement à l’œuvre. Il s’ensuit que non seulement cet officier supérieur n’a pas la confiance indispensable de ses cadres, mais que son autorité morale est forcement très diminuée. C’est d’autant plus fâcheux que le commandant Quinot est à la tête d’un bataillon détaché.

 

Mais ce n’est pas tout, ce chef de bataillon, même après les dernières affectations, se trouve être le plus ancien chef de bataillon partant en cas de mobilisation avec le régiment. Le commandement du régiment peut donc ainsi échoir, dans des circonstances très difficiles à un officier supérieur qui a été nettement jugé incapable d’exercer le commandement d’un bataillon et même celui d’une compagnie.

 

J’estime donc, pour toutes ces raisons, que le chef de bataillon Quinot ne doit pas être maintenu à la tête d’un bataillon et je propose que, pour défaut de capacités et par application de l’article 257 sur le service courant, alinéas 4 et 6, il soit mis en non-activité par retrait d’emploi. »

 

Le commandant Quinot conserve son poste, malgré cette demande de mise à l’écart de son chef de corps. 

 

Le 2 décembre 1925, le général Lemaire, commandant de l’I.D. 40, lui donne 15 d’arrêt simple pour la raison suivante : «  Commandant le détachement du 94e R.I. à Commercy, n’a donné aucune suite aux avis que la commission de réforme avait émis dans trois séances différentes, au sujet de militaires du 94e R.I. et a négligé d’établir, ou à défaut, de provoquer de la part du chef de corps, les propositions de changement d’armes que comportaient réglementairement ces avis. Ces négligences ont eu pour résultat de maintenir dans l’infanterie ses militaires inaptes au service de cette arme. »

 

Quelques jours plus tard, le général commandant la 40e D.I. transforme cette punition en 15 jours d’arrêt de rigueur. »

 

Le commandant Quinot est admis à faire valoir ses droits à la retraite pour ancienneté de services par décret du 30 mars 1926.

 

Il est rayé des contrôles de l’armée active le 30 avril 1926 sans affectation dans la réserve.

 

L’ancien capitaine du 149e R.I. décède à l’âge de 84 ans le 15 février 1958 à Coutevroult dans le département de la Seine-et-Marne. Il repose dans le cimetière de cette commune auprès de son épouse.

 

 

Décorations obtenues :

 

Pierre Quinot est probablement le seul officier passé au 149e R.I. à ne pas avoir été décoré de la croix de guerre.

 

Il est fait chevalier de la Légion d’honneur pour avoir porté l’uniforme durant 28 ans et pour avoir effectué 5 campagnes (J.O. du 10 juillet 1924).

 

Autres décorations :

 

Médaille commémorative de la Grande Guerre

 

Médaille interalliée

 

Pierre Quinot possède un dossier sur la base Léonore. Pour le consulter, il suffit de cliquer une fois sur l’image suivante.

 

Site base Leonore

 

Sources :

 

Dossier individuel consulté au Service Historique de la Défense de Vincennes.

 

J.M.O. du 421e R.I.. S.H.D. de Vincennes. Réf : 26 N 772/8

 

J.M.O. du 228e R.I.. S.H.D. de Vincennes. Réf : 26 N 721/8 et 26 N 721/9

 

La photographie de groupe représentant des officiers du 149e R.I. est extraite du fonds Bonnefous, propriété de N. Bauer.

 

La photographie de la sépulture de la famille Quinot a été trouvée sur le site « Généanet ». 

 

Un grand merci  à N. Bauer, à M. Bordes, à A. Carobbi, à M. Porcher et au Service Historique de la Défense de Vincennes. 

Commentaires
J
La légion d'honneur pour un officier aussi médiocre ! Je pense aux vaillants poilus de base morts dans l"indifférence la plus complète
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