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149e R.I., un régiment spinalien dans la Grande Guerre.
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18 mars 2022

René Lobjoy (1887-1971)

Rene Lobjoy

 

Enfance et jeunesse

 

René Lobjoy naît le 11 février 1887 à Asnières, dans le département de la Seine.

 

Ses parents, tous deux originaires de Paris, ont quitté le 9e arrondissement pour aller s’installer en banlieue, peu de temps avant sa naissance.

 

Sa mère, Jeanne Caroline Bezet, est âgée de 24 ans. Elle élève déjà une fille et un garçon.

 

Son père, Georges, âgé de 29 ans, est alors associé à un négociant de dentelles. Il aura plusieurs métiers dans différents secteurs : commerce de chaussure, banque.

 

La famille continue de s’agrandir avec 5 naissances supplémentaires. Les Lobjoy s’installent à Versailles en 1898, au 38 avenue de Saint-Cloud, à proximité du lycée Hoche réputé pour sa qualité d'enseignement. Leurs 6 fils y feront leurs études.

 

Versailles lycee Hoche

 

René termine sa primaire dans cet établissement public et y fait toute sa scolarité jusqu'à la terminale. Bon élève il est jugé excellent dessinateur.

 

Il perd sa mère à l’âge de 16 ans. Le benjamin de la fratrie n’a pas encore fêté son 5e anniversaire. Le père ne se remariera pas.

 

En 1914, Georges et ses plus jeunes enfants reviennent sur Paris. Ils s'installent au 201 rue de la Convention, à Paris.

 

Détenteur du baccalauréat, René tente et réussit, en juillet 1904, le concours d’entrée de l’école de céramique annexée à la manufacture nationale de Sèvres. Il effectue des études brillantes. Quatre ans plus tard, il obtient son diplôme d’ingénieur ainsi que la médaille d’argent des beaux-arts.

 

Sa fiche matricule indique un degré d’instruction de niveau 3, ce qui est une erreur. Celui-ci est en fait de niveau 5.

 

La conscription

 

René Lobjoy est déclaré « bon pour le service armé » par le conseil de révision de la subdivision de Vincennes en 1907.

 

Appelé sous les drapeaux le 6 octobre 1908, le jeune conscrit est incorporé au 101e R.I., un régiment qui tient garnison à Dreux, dans le département de l’Eure-et-Loir.

 

Caserne de Billy (101e R

 

Le soldat Lobjoy est admis à suivre les cours du peloton d’instruction des élèves caporaux. Il est nommé dans ce grade le 16 février 1909. Le Lebel n’a plus de secret pour lui. René Lobjoy est considéré comme étant un excellent tireur.

 

Son niveau de formation élevé lui permet d’assurer les fonctions de secrétaire du trésorier du régiment à partir du 30 septembre 1909. Il assume cette charge jusqu’à la fin de ses obligations militaires.

 

Le 25 septembre 1910, René est envoyé dans la disponibilité. Il quitte la caserne de Billy pour retourner dans sa famille à Versailles. Il est rattaché militairement au 28e R.I. d’Évreux avant d’être versé dans la réserve de cette unité.

 

Après les obligations militaires

 

René Lobjoy commence sa carrière professionnelle en Allemagne en octobre 1910. Il s’installe en Bavière pour exercer ses talents d’ingénieur dans l’atelier de décoration de la prestigieuse manufacture royale de Nymphenburg à Munich. Il est intégré dans une équipe franco-allemande.

 

Le jeune homme vit toujours en Allemagne lorsque l’ordre de mobilisation générale est affiché dans toutes les communes de France en août 1914.

 

Les premières années du conflit au 228e R.I..

 

Caserne Amey (28e R

 

Rappelé à l’activité militaire, René Lobjoy doit rejoindre le dépôt du 28e R.I., le 4 août 1914, pour revêtir l’uniforme de caporal du régiment de réserve. Il y retrouve son frère Jean arrivé la veille. Les deux hommes n’ont pas été affectés dans la même unité. Jean partira avec le 28e R.I..

 

Le 228e R.I. quitte Évreux le 10 août. Le caporal Lobjoy le rejoint le 3 septembre, envoyé avec un renfort. Le régiment retraite après avoir combattu en Belgique.

 

Le chef d’escouade Lobjoy est affecté à la 20e compagnie dès son arrivée au régiment actif. Il prend part aux combats de la Neuville près de Berry-au-Bac.

 

René Lobjoy est nommé sergent le 26 septembre 1914.

 

Sa compagnie est engagée dans la bataille d’Artois en mai et juin 1915.

 

En août 1915, le sergent Lobjoy est affecté au peloton des pionniers comme sous-officier bombardier. En septembre 1915, il participe à la bataille de Champagne. Cité à l’ordre du régiment, il est autorisé à porter la croix de guerre.

 

Le 10 octobre 1915, René Lobjoy est nommé sous-lieutenant de réserve à titre temporaire suite à une décision ministérielle (publication dans le J.O. du 25 octobre 1915).

 

Le chef de corps du régiment lui confie le commandement de ses pionniers bombardiers.

 

Le 7 janvier 1916, le lieutenant-colonel Leroux, rédige le petit texte suivant dans le relevé des notes de René Lobjoy : « Au front avec le 228e R.I. depuis le 3 septembre 1914, comme caporal, puis comme sergent. A toujours fait preuve d’intelligence, d’énergie et de courage. Nommé sous-lieutenant à titre temporaire, il commande le peloton de pionniers bombardiers du régiment et donne satisfaction. »

 

René Lobjoy est nommé sous-lieutenant de réserve à titre définitif par décret du 27 juillet 1916. Cette nomination prend rang à partir du 5 juillet 1916 (publication dans le J.O. du 1er août 1916).

Le sous-lieutenant Lobjoy contribue, avec ses pionniers bombardiers, à la bataille de la Somme en juillet 1916.

Il est nommé lieutenant à titre temporaire le 14 octobre 1916.

 

René Lobjoy effectue un stage de huit jours comme officier bombardier à la Ve armée en novembre 1916 ; puis il suit les cours concernant les engins de tranchée du 6 au 17 décembre 1916.

 

Le 13 décembre 1916, il est de nouveau évalué par son chef de corps. Le lieutenant-colonel Leroux écrit ceci :

 

« Officier dévoué, zélé, actif et payant beaucoup de sa personne dans la direction des travaux. Fera un bon officier pionnier en développant ses connaissances en fortification de campagne et en apportant plus de fermeté dans le commandement de son personnel. »

 

René Lobjoy participe aux opérations de poursuite en mars 1917, puis à la bataille de l’Aisne d’avril à juillet 1917. Il est cité à l’ordre de la division pour ses actions menées au cours de ces évènements.

 

Officier sorti du rang, ses fonctions de cadre font appel à un savoir théorique pas toujours maîtrisé. Il doit poursuivre sa formation. En octobre 1917, il fait un stage de 21 jours comme officier pionnier à la IIIe armée.

 

Le 10 octobre, il est nommé lieutenant à titre définitif.

 

Le régiment de réserve d’Évreux est dissous le 7 novembre 1917. René Lobjoy est envoyé, avec une partie du 228e R.I., au C.I.D. 43 installé à Verdelot, près de la Ferté-Gaucher.

 

Au 149e R.I..

 

Le lieutenant Lobjoy est muté au 149e R.I. le 11 novembre 1917.

 

Son expérience de cadre au sein du 228e R.I. entraîne son affectation à la tête du peloton des pionniers bombardiers du 149e R.I.. Le responsable de ce peloton vient d’être évacué.

 

Les débuts sont difficiles. Les deux tiers de ses hommes sont en permission lorsqu’il prend le commandement de sa nouvelle unité.

 

Le 18 novembre, il écrit à son père : « Me voici enfin définitivement arrivé au régiment où par suite de l'évacuation de mon collègue on m'a provisoirement confié le commandement de l'emploi que je remplissais au 228e. Malheureusement, pas un seul de mes hommes n'a pu me suivre. Je suis triste et dépaysé au milieu d'inconnus ; c'est pénible. »

 

Le lieutenant Lobjoy prend progressivement ses marques au sein du 149e R.I.. Il connaît maintenant tous ses subordonnés. Le 1er décembre, il envoie ce courrier à sa sœur : « je peux maintenant te confirmer mon affectation comme officier pionnier au 149e. J’aurai également le plaisir de voir revenir à l’état-major régimentaire notre officier téléphoniste. C’est pour moi un charmant camarade qui revient. »

 

René Lobjoy bénéficie d’une permission de 10 jours en décembre. Le 29, il est nommé lieutenant de réserve à titre définitif.

 

De nouveau envoyé en formation, il suit les cours sur l’emploi des gaz militaire entre le 15 et le 20 janvier 1918.

 

Le lieutenant-colonel Boigues note ceci en février 1918 : «  A repris les fonctions d’officier pionnier, par son zèle, son activité, son esprit de méthode, comme aussi par ses connaissances professionnelles, mérite amplement les bonnes notes dont il a été l’objet. »

 

Le lieutenant Lobjoy poursuit sa formation théorique en effectuant un stage de Flammenwerfer, au C.I.D./167, les 15 et 16 mars 1918.

 

Les pionniers bombardiers du 149e R

 

Fin mai 1918, les Allemands attaquent dans le secteur du chemin des Dames, entre le moulin de Laffaux et la ville de Reims. Le 149e R.I. est envoyé sur les lieux pour contenir l’offensive près d’Arcy-Restitue.

 

Le 30 mai, le lieutenant Lobjoy trouve le temps de rédiger une carte pour la famille :

 

« En pleine bagarre, les boches foncent terriblement. On a du mal à les mâter. Mais l’espoir et la confiance règnent toujours. Bons baisers pour tous. »

 

Arcy-Sainte Restitue

 

L’aumônier Henry évoque à plusieurs reprises René Lobjoy dans ses carnets.

 

Les deux hommes sont très proches. Fervent chrétien, le lieutenant Lobjoy occupe régulièrement les fonctions de "maître de cérémonie" pour l'organisation des messes du régiment.

 

Voici quelques extraits le concernant :

Vendredi 13 septembre 1918

 

Pogny à 8 h30

 

« Service solennel pour les morts du régiment. Cérémonie touchante. « En tous points réussie, a dit le colonel, grâce à la bonne volonté et au concours de tous. »

 

Dans le chœur au lieu du catafalque, une tombe des champs ! Idée du colonel, réalisée par Lobjoy avec un goût parfait. »

 

Samedi 2 novembre 1918

 

Cumières

 

« Pendant le déjeuner, le lieutenant Lobjoy a reçu une lettre lui apprenant en même temps et la maladie et la mort de son frère, lieutenant dans un C.I.D.. Épargné par la guerre, il tombe victime de la grippe. Qu'est-ce donc que cette grippe dont tout le monde parle et qui a pris, dans certaines régions surtout, les proportions d'un fléau redoutable ? »

 

Mercredi 13 novembre 1918

 

Remaucourt

 

« Service solennel à 9 h 00. Lobjoy s’est surpassé ; la décoration de la petite église est parfaite. Je dis petite, car si grande, soit-elle, elle s’est trouvée trop petite pour contenir la foule des soldats qui se pressait dans la nef.

 

Au premier rang, le général Michel et le commandant de Charry, le colonel Brenot, le capitaine Fidler, le capitaine de Parseval, puis le colonel et les officiers du 149. Le bon père Lerouge installé à la tribune s’est chargé de la partie musicale. Le général s’est déclaré très satisfait, la cérémonie l’a ému. »

 

Aumonier Henry et un groupe d'officiers

 

René Lobjoy est toujours très bien noté. Peu de temps avant la signature de l’armistice, le lieutenant-colonel Vivier écrit : «  Excellent officier pionnier. Chargé d’assurer le ravitaillement au cours des différents combats, s’est toujours parfaitement acquitté de ses fonctions avec une activité et un dévouement inlassables. »

 

Le 5 mars 1919, le lieutenant-colonel Bourgine, nouveau responsable du 149e R.I., enregistre ceci sur le relevé des notes du lieutenant Lobjoy : « Officier de complément qui a rendu les meilleurs services pendant la guerre, a la meilleure volonté, est doué d’un excellent naturel et est toujours disposé à agir dans le sens du commandement. A parfois besoin d’être guidé dans l’exécution en raison de sa tendance à traiter les détails un peu légèrement. Nature sympathique, enjouée, excellent camarade. Il y aurait intérêt à maintenir cet officier dans le cadre des officiers de complément affectés au régiment. »

 

Le lieutenant Lobjoy maîtrise parfaitement la langue allemande. Il a eu l’occasion d’exercer les fonctions d’officier de renseignement durant sa vie de soldat.

 

René Lobjoy est démobilisé le 28 mars 1919. Il est rayé des contrôles dès le lendemain. Il se retire à Paris, chez son père, au 201 rue de la Convention, rattaché au dépôt divisionnaire du 23e R.I.C..

 

Les années d’après-guerre

 

René Lobjoy reprend le cours de sa vie professionnelle en tant qu’ingénieur céramiste, dans différents services techniques. Il travaille un temps à Sarreguemines avant de s’installer définitivement à Paris.

 

Un avis du gouverneur militaire de Paris du 4 septembre 1920 le fait réaffecter au 149e R.I..

 

Le lieutenant de réserve Lobjoy passe dans l’armée territoriale le 11 avril 1922, il dépend maintenant du dépôt du 153e R.I..

 

René Lobjoy est affecté au service des chemins de fer des étapes de la 21e région en décembre 1922, puis à celui de la 20e région à partir du 26 mars 1923 comme adjoint au commissaire militaire de la commission de gare de Strasbourg.

 

Le 3 avril 1923, il épouse Élise Georgette Vivinis, une jeune parisienne âgée de 22 ans. Deux enfants naissent de cette union.

 

Il prend la direction de l’entreprise de décoration sur porcelaine de sa belle-famille. Cette entreprise basée à Paris, dans le quartier d’Auteuil, occupe une quarantaine d’employés.

 

Pour en apprendre davantage sur cette entreprise, il suffit de cliquer une fois sur le dessin suivant.

 

Porcelaine d'Auteuil

 

Le lieutenant Lobjoy est promu capitaine de réserve par décret du 27 décembre 1927 (J.O. du 11 janvier 1928).

 

Père de deux enfants, l’article 58 de la loi du 1er avril 1923 le fait rattacher à la classe 1903 suite à un avis de recrutement de Versailles pris le 1er avril 1931.

 

René Lobjoy n’en a pas tout à fait terminé avec l’armée. Il doit encore effectuer trois périodes d’exercice en tant qu’officier réserviste.

 

La première a lieu au service des chemins de fer de Versailles entre le 16 septembre et le 2 octobre 1930. Le capitaine Lobjoy n’a pas encore effectué de période d’école du service militaire des chemins de fer. Ses supérieurs lui confient le commandement d’un groupe d’officiers débutants. Il s’acquitte honorablement de cette tâche.

 

René Lobjoy fait une seconde période d’exercice du 19 juin au 1er juillet 1933. Cette fois-ci, il l’effectue au centre des chemins de fer de Paris.

 

Il suit les cours de l’école de perfectionnement du service des chemins de fer en 1934 pour étoffer ses connaissances. Très assidu dans son travail, il fournit plusieurs travaux de grande qualité.

 

Une décision ministérielle du 13 mai 1935 l’affecte au service des chemins de fer de la 7e région.

 

Le capitaine de réserve Lobjoy est rayé des cadres le 20 novembre 1936. Il sera nommé chef d’îlot dans le cadre de la défense passive de Paris en 1940.

 

Decorations et sepulture de Rene Lobjoy

 

L’ancien officier du 149e R.I. a obtenu les citations suivantes :

 

Citation à l’ordre du régiment n° 69 en date du 2 octobre 1915 :

 

« S’est particulièrement distingué aux attaques livrées par le régiment du 25 au 30 septembre dans un secteur particulièrement battu par les mitrailleuses et l’artillerie lourde. A donné à ses camarades, un bel exemple de courage et d’abnégation. »

 

Citation à l’ordre de la 158e D.I. n° 263 en date du 6 novembre 1917 :

 

« Officier pionnier du régiment, zélé, actif, payant beaucoup de sa personne. Au cours des opérations, de mars à juillet 1917, a montré beaucoup de sang froid et la plus grande énergie, assurant le ravitaillement en matériel et dirigeant d’une façon remarquable les travaux d’organisation dans des secteurs particulièrement bombardés, notamment les 26, 27 et 28 juillet 1917. »

 

Citation à l’ordre de la brigade n° 35 en date du 20 juin 1918 :

 

« A assuré constamment son service dans les conditions les plus difficiles pendant les durs combats du 30 mai au 3 juin 1918, notamment, en portant des ordres sous le feu de l’artillerie et des mitrailleuses ennemies. »

 

Citation à l’ordre de la brigade n° 49 en date du 31 juillet 1918 :

 

« Officier d’une activité et d’un dévouement au dessus de tout éloge. A réussi, au cours des dernières opérations à triompher de toutes les difficultés pour assurer le ravitaillement des troupes en ligne. »

 

Citation à l’ordre de la 43e D.I.. n° 385 en date du 26 octobre 1918 :

 

« Au cours des opérations offensives du 26 septembre au 4 octobre 1918, a réussi à assurer d’une façon parfaite, le ravitaillement des unités en ligne, contribuant ainsi au succès des opérations. »

 

Autres décorations :

 

Le lieutenant Lobjoy est fait chevalier de la Légion d’honneur à compter du 16 juin 1920. (J.O. du 12 juillet 1921).

 

« Excellent officier qui a montré dans les missions qui lui ont été confiées, une grande bravoure et une activité inlassables. Nombreuses citations. »

 

Médaille interalliée de la victoire

 

Médaille commémorative française de la Grande Guerre

 

Pour consulter la généalogie de la famille Lobjoy, il suffit de cliquer une fois sur l’image suivante.

 

log geneanet

 

René Lobjoy s’est toujours montré rassurant dans sa correspondance durant le conflit. Il savait que son père et sa grand-mère se faisaient du mauvais sang pour les enfants partis à la guerre.

 

Les Lobjoy ont payé un lourd tribut durant le 1er conflit mondial du XXe siècle. André, d’abord considéré comme prisonnier, a été tué le 22 août 1914 en Belgique, lors de la bataille des frontières.

 

Jean, blessé à Verdun en 1916, meurt de la grippe espagnole en octobre 1918 et le fiancé de sa jeune sœur Suzanne trouve la mort au cours de la bataille de la Somme en novembre 1916.

 

Une courte présentation de Jean Lobjoy est visible sur le site de Vincent le Calvez.

 

 

René Lobjoy décède le 24 avril 1971 à l’âge de 84 ans.

 

Il repose dans un caveau familial au cimetière de l’ouest de Boulogne-Billancourt.

 

Sources :

 

Dossier individuel consulté au Service Historique de la Défense de Vincennes.

 

Fiche signalétique et des services lue sur le site des archives départementales des Yvelines.

 

Carnet inédit de l'aumônier Henry

 

J.M.O. du 228e R.I.. S.H.D. de Vincennes. Réf : 26 N 721/6.

 

J.M.O. du 228e R.I.. S.H.D. de Vincennes. Réf : 26 N 721/10.

 

Le portrait présenté dans le montage et la photographie de groupe des pionniers bombardiers du 149e R.I. proviennent de la collection familiale.

 

La photographie de la sépulture du capitaine Lobjoy figure sur le site Généanet.

 

Un grand merci à M. Bordes, à M. Muller, à A. Carobbi, à J.L. Poisot, à M. Porcher, aux archives départementales des Yvelines, au Service Historique de la Défense de Vincennes et aux archives départementales des Yvelines.

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