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149e R.I., un régiment spinalien dans la Grande Guerre.
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10 mai 2019

Paul Francis Marie Pineau (1874-1948).

Paul Francis Marie Pineau

Jeunesse

Les parents de Paul Francis Marie Pineau, François et Cézarine Caroline Goince se marient le 29 janvier 1873 à Sainte-Suzanne, une petite commune située dans le département de la Sarthe. Le père exerce le métier de ferblantier, il a 26 ans à la naissance de son fils. La mère, qui n’exerce pas de profession, a 29 ans lorsqu’elle donne vie à Paul le 13 janvier 1874 dans la maison familiale de Sablé-sur-Sarthe.

Après avoir suivi sa scolarité primaire obligatoire, Paul a la chance de pouvoir entreprendre des études supérieures. Il devient élève au lycée de Laval, un établissement qu’il quitte en 1890 après l’obtention de son baccalauréat ès lettres et ès sciences.

Souhaitant faire une carrière d’officier, le jeune homme doit préparer le concours d’entrée de l’école spéciale militaire.

Formations militaires

Reçu au concours saint-cyrien à la 30ème place sur 480 élèves, Paul Pineau se rend à la mairie du Mans le 27 octobre 1893 pour y signer un engagement volontaire d’une durée de trois ans. Trois jours plus tard, il commence sa formation en intégrant les effectifs de la promotion « Jeanne d’Arc ».

Nommé caporal le 25 août 1894, sergent le 3 novembre de la même année, il sort de l’école le 1er octobre 1895 avec le numéro 105 sur 465 élèves classés.

C’est comme sous-lieutenant qu’il est affecté au 129e R.I., une unité qui a ses casernes au Havre. Dans un premier temps, il est chargé de l’instruction des jeunes soldats. Paul prend ensuite le commandement d’un peloton de sa compagnie.

129e R

Durant cette période, le sous-lieutenant Pineau rend les meilleurs services dans chacun des emplois qui lui furent confiés, tout particulièrement dans l’aide qu’il apporta à son commandant de compagnie lors de la création du 4e bataillon du régiment. Très bien noté par son colonel, il est promu lieutenant le 31 octobre 1897. Son supérieur lui confie l’instruction des élèves caporaux.

Début 1898, il fait une demande pour intégrer la section des levés de précision de son régiment. Cette requête lui est accordée. Durant toute l’année, il prend part à tous les travaux de cette unité. Une fois de plus, il est très bien noté.

« Officier intelligent et actif, a des dispositions pour le service de topographie. Opère vite, avec soin, dessine très bien. A mérité la mention très bien »

Cette note est transmise par dépêche ministérielle du 7 décembre 1898 au service géographique de l’état-major de l’armée ; ce dernier le mandate pour effectuer une mission sur le continent africain.

Le lieutenant Pineau est envoyé en Tunisie du 28 décembre 1898 au 9 juin 1899 pour travailler sur la carte de ce pays.

Il réintègre le 129e R.I. au mois d’août. Restant très imprégné par son expérience maghrébine, il met beaucoup moins d’ardeur à effectuer ses tâches d’officier de section.

De retour au service géographe de l’armée, rue de Grenelle à Paris, il est envoyé en Algérie du 16 décembre 1899 au 14 juin 1900. Paul Pineau revient au Havre pour une courte période avant de repartir pour un second séjour en Algérie du 28 novembre 1900 au 7 juin 1901. Le 16 mars 1901, il est affecté au 109e R.I. de garnison à Chaumont, une unité qu’il rejoint dès sa rentrée sur l’hexagone.

Paul Pineau est noté comme étant un officier intelligent, zélé, sérieux, bien élevé, avec un caractère ouvert et énergique tout en étant animé du meilleur esprit, ce qui lui permet de remplir tous ses devoirs militaires avec entrain.

Le 26 juin 1901, il épouse une jeune femme âgée de 19 ans du nom de Suzanne Aglaé Marie Boland à Paris. L’oncle de Suzanne, Pierre Guignabaudet, est commandant dans le régiment de Paul. Après le mariage, le couple séjourne plusieurs années à Chaumont-sur-Marne au 12 rue Hautefeuille. Le 25 mai 1902, Suzanne Pineau met au monde une petite fille, Odette Marie, qui meurt le lendemain.

En 1903, le lieutenant Pineau suit les cours de l’école de tir de la Valbonne. À la fin de sa formation, le commandant de l’école lui donne l’appréciation suivante : « Intelligent et laborieux, très bon instructeur, apprécie assez bien les distances, très bon tireur. »

Cette année-là, il reçoit une médaille de 2e classe de la société de topographie de France qui le remercie pour son travail de cartographie effectué en Afrique.

Le 14 octobre 1904 naît un garçon que le couple Pineau prénomme Christian. Paul souhaite retourner au 4e corps, mais cette demande lui est refusée. Il s’inscrit comme candidat à l’école de guerre, mais renonce à se présenter au concours pour cette année.

Le lieutenant Pineau travaille énormément pour être admissible à l’école de guerre durant le 1er trimestre de l’année 1905, mais il échoue à l’examen d’entrée à sa 1ère tentative

Il réussit le concours l’année suivante. Négligeant ses fonctions d’officier de compagnie, il n’est pas bien noté par son capitaine et son chef de bataillon qui lui reprochent « une certaine confiance abusive dans ses propres lumières. »

Carrière d’officier supérieur

Paul Pineau fait un stage au 12e régiment de hussards avant d’entrer à l’école supérieure de guerre le 23 octobre 1906 avec le numéro 30.

Le 8 décembre 1906, la famille Pineau s’agrandit. Une petite fille voit le jour à Paris.

Le lieutenant Pineau dépend administrativement du 4e R.I. à partir du 24 novembre 1906 puis du 144e R.I. à compter du 24 juillet 1907. Promu capitaine le 24 septembre 1908, il est rattaché au 22e B.C.P..

Cet officier quitte l’école de guerre le 21 octobre 1908 avec son brevet d’état-major en poche. La mention « très bien » y est inscrite. Paul Pineau fait partie des vingt premiers élèves de la promotion 32.

Il obtient du ministre de la guerre un congé de trois mois, avec salaire de présence, qui lui permet d’effectuer un long voyage en Italie. Rattaché au 98e R.I., c’est cette unité qui lui verse sa solde durant cette période.

À son retour d’Italie, le capitaine Pineau est placé comme stagiaire au 4e bureau de l’état-major du 3e C.A. du 20 janvier au 20 avril 1909. Il effectue ensuite, au sein du 22e R.A.C. au camp de Chalons, son 2e stage pratique obligatoire prévu dans sa formation de cadre supérieur (un stage dans la cavalerie, un second dans l’artillerie).

Affecté à la section de chancellerie durant le 2e semestre de l’année 1910, Paul est en train d’acquérir une pratique du service d’état-major qui va le rendre apte à toute mission.

Le capitaine Pineau continue de se montrer du point de vue tactique un officier très complet. Il accomplit un dernier stage au 6e dragons durant les manœuvres d’automne.

Sa formation pratique d’officier supérieur s’achève à la fin du mois de septembre 1910. Muté au 119e R.I., il prend le commandement d’une des compagnies du régiment.

Les relations entre Suzanne et Paul se détériorent. Elles se dégradent tellement que le couple finit par se séparer. Suzanne rencontre l’écrivain Jean Giraudoux ; elle aura avec lui une longue histoire amoureuse et un enfant né en 1919, avant de l’épouser après son divorce avec Paul. Ce divorce est prononcé par un jugement du tribunal civil de la Seine le 20 mai 1920.

En 1911, Paul Pineau prend part aux manœuvres de cadres de la 6e D.I..

En 1912 le colonel du 119e R.I. écrit ceci à son sujet : « Le capitaine Pineau instruit très bien ses recrues. Il exerce une heureuse influence sur le régiment par ses connaissances étendues et le dévouement avec lesquels il aide les lieutenants qui étudient. Il y a là une démonstration évidente des exercices que peuvent rendre dans un régiment les officiers brevetés. »

Affecté à l’état-major de l’armée par décision ministérielle du 23 mars 1914, le capitaine Pineau est rayé des contrôles du 119e R.I. le 9 août 1914.

1er conflit mondial

Paul Pineau est au service des chemins de fer des armées au début de la mobilisation générale ; cet évènement à la fin du mois de juillet 1914 est annonciateur du premier grand fléau du 20e siècle. Dès les premiers mois du conflit, Paul fait une demande écrite pour rejoindre une unité combattante.

Nommé commandant à titre temporaire le 15 novembre 1914, il prend la tête du 2e bataillon du 28e R.I..

Le commandant Pineau s’occupe successivement d’un secteur de bataillon à la Neuville puis d’un secteur de deux bataillons à Berry-au-Bac. Il se distingue dans ces deux lieux par son esprit d’organisation, son entrain et son activité, en communiquant toute son ardeur à ses subordonnés ; ces derniers concourent, avec lui, à faire du village de Berry-au-Bac et des tranchées avoisinantes un secteur modèle.

Paul Pineau passe le Noël 1914 à Berry-au-Bac, son bataillon tient des tranchées creusées dans le village même avec le soutien de territoriaux du 78e R.I.T.. Il rédige un courrier à Henri Bordeaux, célèbre écrivain qui a rendu visite au 28e R.I. en décembre 1914.

Pour lire cette petite correspondance, il suffit de cliquer une fois sur l’image suivante.

Site_du_28e_R

Paul montre un esprit très ingénieux qui ne laisse rien au hasard dans les affaires du 20 au 23 janvier 1915. Cet officier connaît parfaitement son personnel qu’il emploie à bon escient en lui communiquant sa flamme et sa ténacité.

Le commandant Pineau est proposé pour une citation à l’ordre de la Ve armée à la suite de l’affaire du 23 qu’il a su mener à bien.

Le 5 mai 1915, il est confirmé à titre définitif dans ses fonctions de commandant.

Cette titularisation lui permet de prendre le commandement du 3e B.C.P. dix jours plus tard. 

Avec ses chasseurs, il fait preuve, dans les combats très durs des mois de mai et de juin, de beaucoup de perspicacité, d’une très bonne aptitude au commandement et d’un grand courage personnel.

Le 11 juin 1915, son abri est écrasé sous des obus de 210. Il sort indemne de la situation avec une contusion grave du ménisque interne du genou droit. Il n’est pas évacué vers l’arrière.

Le 22 juin 1915, il est cité à l’ordre de la Xe armée.

D’un bataillon complètement détruit, recomposé à partir de renforts venus de plusieurs dépôts, il parvient à faire un corps très homogène. Paul Pineau conduit ses hommes de manière brillante dans l’offensive de septembre 1915. Il est décrit par le général Guillemot, responsable de la 85ème brigade, comme étant un chef de corps de 1ère valeur ayant une très haute conception de tous ses devoirs. De plus, cet homme est considéré comme étant un instructeur remarquable et un administrateur averti ayant un fort ascendant sur ses subordonnés.

Le commandant Pineau réorganise une nouvelle fois son bataillon, après les lourdes pertes subies dans les attaques de septembre, pour en faire un corps de troupe des plus solides et des plus brillants.

Il quitte le 3e B.C.P. le 2 février 1916 pour rejoindre le 3e bureau de l’état-major de la 2e armée.

À la tête du 149e R.I.

Chateau_de_Deniecourt_18_octobre_1916

Nommé lieutenant-colonel à titre temporaire, Paul Pineau reçoit le commandement du 149e R.I. le 10 septembre 1916. Ce régiment a été durement éprouvé au cours des combats qui eurent lieu les jours précédents dans le secteur de Soyécourt dans la Somme. Le 149e R.I. vient de perdre son chef de corps. Le lieutenant-colonel Gothié a été blessé avant d’être capturé par l’ennemi.

Le lieutenant-colonel Pineau, à la tête du régiment spinalien, prend part à la bataille de la Somme jusqu’en décembre 1916.

Poste_de_commandement_du_lieutenant_colonel_Pineau_en_octobre_1916

Le 21 décembre 1916, le général Guillemot note ceci dans le feuillet du personnel de son subordonné :

« Affecté au commandement du 149e R.I., au cours des opérations de septembre dans des circonstances particulièrement délicates, le lieutenant-colonel Pineau a su donner immédiatement la mesure des brillantes qualités de chef de corps dont il avait déjà fait preuve à la tête du 3e B.C.P. au cours des offensives en Artois. Appelé récemment à engager son régiment (novembre 1916) dans un secteur où il venait d’effectuer une relève en fin de combat, a eu l’heureuse initiative de réaliser des approches qui lui ont donné la possession de position ennemie et de s’y maintenir malgré de violentes contre-attaques précédées de jets de flammes. Chef de corps qui joint à une exceptionnelle valeur morale les plus précieuses qualités de commandement. Le lieutenant-colonel Pineau mérite au plus haut degré d’être titularisé dans le grade de lieutenant-colonel. »

À partir du 26 décembre 1916, le 149e R.I. se repose et s’instruit mi-partie au camp de Villersexel, mi-partie en deuxième ligne du secteur Seppois-Largitzen en Haute-Alsace.

Le_lieutenant_colonel_Pineau_devant_la_frontiere_alsacienne_en_fevrier_1917

Le 25 janvier 1917, le lieutenant-colonel Pineau est cité à l’ordre du 21e C.A..

Le_lieutenant_colonel_Pineau_devant_le_chateau_Belleau_le_13_mai_1917

Le 14 avril 1917, le 149e R.I. débarque à Montmirail.

Un mois plus tard, le lieutenant-colonel Pineau quitte le 149e R.I. en donnant son commandement au lieutenant-colonel Boigues. Il laisse à regret un régiment en parfait état sous tous les rapports : discipline, état moral, ordre, tenue, instruction.

L’après 149e R.I.

Il prend ses nouvelles fonctions comme sous-chef d’état-major au 10e C.A. après son départ du 149e R.I..

Le 1er octobre 1917, Paul Pineau est nommé lieutenant-colonel à titre définitif avant d’être désigné pour servir à la direction de l’arrière du grand quartier général.

Le 20 octobre, il est au service des chemins de fer occupant un poste de commissaire régulateur.

Le 5 mars 1918, il est détaché à l’armée américaine, avec la même charge professionnelle, sur la ligne de communication sud aux armées durant plus de sept mois.

Le 26 octobre le lieutenant-colonel Pineau devient chef du 3e bureau à l’état-major de l’armée française en Belgique. Durant quinze jours il assume les fonctions de sous-chef d’état-major de la 6e armée. C’est à ce poste qu’il apprend que l’armistice vient d’être prononcé.

Après l’armistice

Le lieutenant-colonel Pineau travaille à l’état-major de l’armée, aux armées, du 12 novembre au 10 décembre 1918 avant de devenir l’administrateur supérieur du district de Wiesbaden dans Hesse.

 Cet officier est remis à la disposition de son arme le 15 octobre 1919, à la suite d’une réduction d’effectif dans l’administration des territoires rhénans. Il est affecté pour ordre au 103e R.I..

Une semaine plus tard, Paul Pineau est sous l’autorité directe du ministre de la reconstitution industrielle. Affecté à la direction du service à Bruxelles, il est chargé de préparer l’organisation de la restitution des œuvres d’art et du mobilier artistique en accord avec le traité de Paix de Versailles

Il est ensuite détaché comme secrétaire général à la direction du service du charbon, une fonction qu’il occupe jusqu’en avril 1920.

Le lieutenant-colonel Pineau est mis en congé sans solde le 7 avril 1920 pour une durée d’un an. Ce congé est prolongé durant trois années.

Le 20 octobre 1921, il épouse, à la mairie du VIème arrondissement de Paris, Élisabeth Marie Machenschein, une femme âgée de 37 ans.

Le 15 novembre 1923, Paul Pineau est promu au grade de colonel de réserve. Ce jour-là, il est admis à la retraite et rayé des contrôles de l’armée active avant d’être affecté au gouvernement militaire de Paris.

Remis à la disposition de son arme par décision ministérielle 263-6/11 du 29 janvier 1930, il est adressé aux services militaires du territoire de la région de Paris par décision ministérielle du 10 février 1930.

Le colonel Pineau est rayé des cadres à partir du 14 janvier 1938. Il en a définitivement terminé avec sa carrière militaire.

Paul Pineau décède le 28 février 1948, chez lui, au 3 square Raynouard dans le XVIe de Paris.

Les_d_corations_du_lieutenant_colonel_Pineau

Décorations obtenues :

Croix de guerre avec 3 palmes et une étoile de vermeil.

Citation à l’ordre de la Ve armée du 5 février 1915 :

« Chargé de défendre un secteur délicat, l’a organisé avec une méthode remarquable et a préparé avec une grande habileté une contre-attaque qui a été couronnée de succès malgré un bombardement très violent. »

Citation à l’ordre de la Xe armée du 22 juin 1915 :

« A su par son ascendant personnel obtenir des débris de son bataillon dont il venait de prendre le commandement, un admirable effort, pour conquérir des tranchées énergiquement défendues et pour s’y maintenir malgré un violent bombardement et de nombreuses contre-attaques. »

Citation à l’ordre du 21e C.A. du 25 janvier 1917 :

« A pris dans des circonstances difficiles le commandement d’un régiment déjà éprouvé par la lutte et qui, sous sa vivifiante impulsion s’est de nouveau porté brillamment le 17 septembre 1916 à l’assaut des positions adverses. A pressenti les intentions du commandement et, sans attendre l’ordre, a talonné l’ennemi. A ainsi conquis une tranchée de près de 900 mètres, en a assuré l’organisation et y a maintenu ses unités jusqu’à la relève. »

Citation à l’ordre de la Xe armée du 20 février 1919 :

« Appelé à engager son régiment, le 149e R.I. dans un secteur où il venait d’effectuer une relève en fin de combat, a eu l’heureuse initiative de réaliser des approches qui lui ont donné la possession de positions importantes (14 octobre 1916) constituant une nouvelle parallèle de départ et permettant d’éviter de nombreuses pertes dans l’occupation du secteur. A pu, grâce à cette avance, enlever brillamment la position ennemie (7 novembre 1916) et s’y maintenir malgré de nombreuses contre-attaques précédées de jets de flammes. »

Chevalier de la Légion d’honneur le 16 juin 1915.

Officier de la Légion d’honneur arrêté du 13 août 1920 prenant rang à partir du 16 juin 1920.

Autres décorations :

Officier de l’instruction publique

Officier de l’ordre du Nicham Iftikar de Tunisie

Chevalier de l’ordre du mérite agricole

Médaille commémorative française de la Grande Guerre

Médaille interalliée de la victoire

Médaille japonaise : Officier de l’ordre du soleil levant

Médaille belge : Officier de l’ordre de Léopold

Sources :

Dossier individuel consulté au Service Historique de la Défense de Vincennes.

Fiche signalétique et des services lue sur le site des archives départementales de la Sarthe.

Cahier Jean Giraudoux n° 31. Éditions Grasset & Fasquelle 2003.

Pour consulter la généalogie de Paul Pineau il suffit de cliquer une fois sur l’image suivante.

Geneanet

Le colonel Pineau possède un dossier sur le site de la base Léonore. Celui-ci peut se consulter sur le lien suivant.

Site_base_Leonore

Un grand merci à M. Bordes, à F. Amélineau, à A. Carobbi, à M. Porcher, à B. Sonneck et au Service Historique de la Défense de Vincennes. 

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